martes, 19 de junio de 2012

No sé cuál podría ser el título...


On s'est connus qu'un moment.
Coeur de Pirate.
        Je ne sais pas où commencer mon épître...
       Je n'écris que ce que je pense et ce que je ressens à cet instant. Je ne vous assure pas qu'il soit assez cohérent sinon follement écrit. J'ai besoin de l'exprimer par quelque moyen, que quelqu'un sache que ce qui m'arrive est quelque chose de bizarre car je pensais en verite que c'etait quelque chose de temporel, cette étincelle d'été des chanson romanesques; je ne sais guère ce que c'est, si le "coup de foudre", platonisme ou admiration, ou désire... Cela est un peu le fond de la représentation poétique ci-publiée, ce qui m'a fait m'inspirer dans certain forme à elle.
C'est complètemet BIZARRE!!!!!!!! 
 Je suis tellement sentimentaliste et c'est une chose qui ne va point changer. Au moins j'éprouve quelque chose, et ce n'est pas mauvais, mais c'est vraiment intéressant.
 
Nous nous connûmes. Nous nous ressentîmes. Nous nous vîmes. Et che pas ce qui passe, mais je ressens bien.

lunes, 4 de junio de 2012

VRAIE BALLADE D'UN MOMENT

Considéré comme cadeau de Dieu,
Brûlant dans l’âme, tel un feu muant,
Tel graines qui poussent fort jusqu’aux cieux,
L’Amour grandit au passage du temps.
Enflammer d’amour vrai le cœur des gens,
Du beau travail fait Cupidon ici,
Et enfanter un peu de gaité aussi.
Raison noyée, pour rien penser là ;
Néanmoins, il approche le paradis,
Laissez-moi pas à l’écart de vos bras !
 -                                                                    
Puis-je d’abord embrasser vos beaux yeux ?
Vue baroque et pulsion allante,
Conduite par ivresse des sens. Ceux
Qui cherchent un brin de senteur plaisante,
La caresse soudaine et frémissante,   
Ressentie d’autres rêveurs aussi,
Durèrent moins d’un clin d’œil, mon chéri :
Une seconde, une minute, ou trois ?
Élan tordu, passion hue en esprit !
Laissez-moi pas à l’écart de vos bras !
                                                                 
Je m’ennuie, ou alors je suis radieux,
Lorsqu’il vient me souffler habilement ;
Faussés, des sillons camouflés, brumeux :
Il faudrait distinguer soigneusement.
Le matin se lève certainement,
Décoiffés, au dormir enfin, la nuit,
Certain sur ce que j’en ai ressenti
La veille frénétique et sans frimas,
Adieu, ta vue étrange m’ébahit,
Laissez-moi pas à l’écart de vos bras !
 -
Soir de folie, nuit d’écarts, voilà !
Un moment vif et la vie fléchit,
Un moment bref vécu : mon cœur capta
Ce grand contresens d’amour ; mais je dis :
Laissez-moi pas à l’écart de vos bras !